Conseils pour végétaliser son alimentation

Conseils pour végétaliser son alimentation

Dans un contexte de changement climatique, de concurrence pour l’exploitation des sols, de réduction des impacts environnementaux de l’élevage et de souci du bien-être animal, végétaliser son alimentation peut apparaître comme une solution face à ces problématiques. Cette voie s’inscrit dans une démarche d’alimentation plus durable et responsable, tant en termes de santé humaine, de protection de l’environnement et de bien-être animal.

En quoi consiste la végétalisation de son alimentation ? Comment y parvenir et arriver à s’y tenir au quotidien ? Dans cet article, nous allons tenter de définir une alimentation tournée vers le végétal et de vous proposer des conseils pour tendre vers ce type d’alimentation plus durable et éco-responsable.

En quoi consiste la végétalisation de son alimentation ?

Historiquement, la cuisine française a toujours fait la part belle aux produits d’origine animale tels que la viande, la charcuterie, les abats, le poisson, les œufs ainsi que les produits laitiers, sources de nombreuses protéines, de minéraux, de lipides, d’oligo-éléments et de vitamines. Cependant depuis quelques décennies, des scandales sanitaires touchant les produits d’origine animale ont éclaté comme la crise de la vache folle, les poulets aux dioxines ou bien les lasagnes à base de viande de cheval. Ce contexte contribue à éveiller les consciences sur notre alimentation et à vouloir rechercher des alternatives aux produits carnés ou d’origine animale. Les impacts environnementaux de l’élevage sont également pointés du doigt en raison des émissions de gaz à effet de serre et des effluents produits. En 2022 selon les chiffres du gouvernement français, on estime qu’une alimentation avec une proportion « classique » de produits d’origine animale et végétale émet 1,6 tonnes de CO2 équivalent par an contre 1 tonne pour un régime tourné principalement vers le végétal.

De plus, la question du bien-être animal prend de plus en plus de place sur la place publique suite à de nombreuses révélations sur notamment les conditions d’élevage en agriculture intensive. Ainsi, se tourner vers une alimentation plus végétale apparaît comme une solution à ces problématiques d’ordre à la fois environnemental, sociétal, sanitaire et éthique.

Végétaliser son alimentation signifie augmenter son apport en matières premières et produits finis végétaux et parallèlement, diminuer son apport en produits animaux ou d’origine animale. Cela consiste donc à rééquilibrer ses apports en produits animaux et végétaux pour qu’en définitive, la proportion de produits d’origine végétale soit majoritaire voire prépondérante.

Comment y parvenir tout en gardant une alimentation variée et équilibrée, et éviter d’éventuelles carences ?

Quelques conseils pour végétaliser son alimentation au quotidien

1. Consommer plus de fruits et de légumes

Selon les recommandations de Santé Publique France, il faut consommer 5 fruits et légumes par jour minimum pour rester en bonne santé. Cela correspond à 400g de fruits et légumes, également recommandés par l’OMS, en privilégiant les produits crus, frais et de saison.
Ces aliments apportent nombre de vitamines, minéraux, fibres et anti-oxydants dont le corps a besoin pour fonctionner et éviter ainsi d’éventuelles complications telles que les maladies cardio-vasculaires, l’obésité, le diabète, etc… Ainsi, il s’agit de varier son alimentation tout en la tournant vers des produits d’origine végétale en quantité suffisante.

Consommer plus de fruits et de légumes

2. Diminuer sa consommation de produits d’origine animale

Comme évoqué précédemment, la consommation de viande et de produits d’origine animale implique la production d’effluents néfastes pour l’environnement, des émissions de gaz à effet de serre plus importantes qu’un régime tourné vers le végétal ainsi qu’un bien-être animal bafoué dans certains systèmes d’élevage. Pour ces principales raisons, il semble important de diminuer sa consommation de produits d’origine animale.

Cela peut se traduire de différentes manières :
– Manger moins de viande mais mieux en valorisant les filières biologiques, locales, respectueuses du bien-être animal et de l’environnement
– Remplacer le beurre par des huiles et graisses végétales, sources de nombreux bienfaits comme les huiles de colza, de noix ou de lin, riches en omega-3, acides gras indispensable au bon fonctionnement du corps humain
– Remplacer le lait animal par des laits végétaux, préparations à base d’oléagineux, de céréales ou de légumineuses, peu caloriques, dépourvues de lactose et pouvant être riches en protéines comme le lait de soja
– Opter pour des alternatives tels que les produits simili-carnés, aliments qui s’apparentent visuellement à des produits carnés mais dont la composition est végétale

Diminuer sa consommation de produits d’origine animale

3. Varier les sources de protéines végétales

Afin d’éviter d’éventuelles carences en protéines que fournit aisément les produits carnés, il est important de trouver d’autres sources protéiques issues du monde végétal. Sources de protéines, les aliments suivants d’origine végétale représentent de belles alternatives riches et variées :

– Les légumineuses comme les lentilles, les pois, les fèves et les haricots, belles sources de protéines mais aussi de fibres, de vitamines et de minéraux (ex : lentilles vertes, lentilles corail, pois chiches, fèves de soja, etc…). On peut retrouver tous les bienfaits des légumineuses également sous forme de lait végétal, voire de tofu pour le soja par exemple.
– Les graines comme les graines de courge, de lin, de tournesol, de soja
– Les fruits à coques permettant également de lutter contre le mauvais cholestérol. Tout comme les légumineuses, ils peuvent être consommés sous forme de lait végétal.
– Les céréales complètes comme l’avoine, le millet, le sarrasin par exemple, dont notamment le quinoa, regroupant les 9 acides aminés essentiels
– Les algues comme l’algue nori, apportant également une belle quantité d’iode
– Les champignons peuvent constituer une source intéressante de protéines

Varier les sources de protéines végétales

4. Varier les sources de minéraux comme le Fer et le Calcium

De multiples végétaux riches en Fer et en Calcium peuvent rivaliser avec les teneurs en ce minéraux essentiels apportés par les produits d’origine animale.

Comme sources végétales de fer et de calcium, les légumineuses mais aussi les légumes à feuilles vertes, les céréales complètes et certains fruits séchés comme la figue par exemple, constituent des aliments intéressants comme alternatives à la viande et aux produits laitiers.

Varier les sources de minéraux comme le Fer et le Calcium

La Main dans le Bol, pour une alimentation 100% végétale !

Dans notre entreprise La Main dans le Bol, nous prônons une alimentation tournée vers le végétal à l’image de nos savoureux granolas et müeslis. Dans nos gammes de produits, vous ne trouverez que des ingrédients d’origine végétale :

– Des céréales complètes : l’avoine pour nos granolas et des flocons 5 céréales (blé, avoine, seigle, orge, riz) pour nos müeslis riches en nutriments et en fibres
– De l’huile végétale comme l’huile de colza, riche en protéines et oméga-3
– Du sirop d’érable, sucre non raffiné 100% végétal, source de nombreux nutriments
– Des nombreuses graines : graines de courge, graines de tournesol et graines de lin pour un apport protéique intéressant et être en pleine forme toute la journée
– De multiples oléagineux : noisettes, amandes, noix de cajou soit un beau cocktail de protéines, de vitamines, d’oligo-éléments et minéraux
– Des fruits séchés sources de fibres et de minéraux comme la pomme, la cranberry ou la figue, pour apporter un côté gourmand et fruité

S’inscrire dans une alimentation équilibrée et variée mais aussi plus durable et responsable nous tient à cœur chez la Main dans le Bol. Ces valeurs se traduisent par la confection de nos délicieux granolas et de müeslis 100% végétaux, à la liste d’ingrédients très courte, les plus naturels et sains possibles.

Bonne dégustation !

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Les édulcorants naturels

Les édulcorants naturels

Un édulcorant est une substance d’origine naturelle ou synthétique ayant une saveur sucrée, utilisé en cuisine et en industrie agroalimentaire pour sucrer les aliments.

Le sucre est un aliment de plus en plus décrié dans nos sociétés, que ce soit lié à son mode de production et aux conséquences environnementales et humaines qui en découlent, ou bien à l’impact d’une consommation excessive sur la santé. En effet, le sucre fait des ravages dans nos sociétés notamment occidentales, en raison de son omniprésence dans la plupart des aliments transformés et ultra-transformés proposés en abondance dans nos supermarchés. Il peut causer de nombreuses maladies comme le diabète, mais aussi et surtout l’obésité, véritable fléau mondial du XXIème siècle. En effet selon l’OMS, l’obésité touche désormais plus d’un milliard de la population mondiale. Des alternatives au sucre ont donc vu le jour, sous forme d’édulcorant naturel ou de synthèse, représentant ainsi une issue au dictat du sucre.

Dans cet article, nous allons définir le terme édulcorant en différenciant les édulcorants naturels des édulcorants de synthèse, puis vous présenter les principaux édulcorants naturels que vous pouvez intégrer à votre alimentation comme substituts au sucre.

Qu’est-ce qu’un édulcorant naturel ?

Un édulcorant est une substance d’origine naturelle ou synthétique ayant une saveur sucrée, utilisé en cuisine et en industrie agroalimentaire pour sucrer les aliments. Il peut être utilisé comme simple ingrédient ou bien comme additif alimentaire, voire comme excipient dans des médicaments pour en faciliter l’ingestion. Il peut être utilisé comme une alternative intéressante au sucre pour les personnes ayant des problèmes de poids, pour les personnes soucieuses de leur apport calorique journalier ou de leur santé bucco-dentaire.
Les édulcorants se distinguent du sucre notamment par leur composition et leur effet sur le corps humain. En effet, le sucre raffiné est composé uniquement de saccharose (association entre une molécule de glucose et de fructose) provenant essentiellement de la canne à sucre et de la betterave sucrière. C’est un aliment calorique permettant ainsi d’apporter l’énergie dont a besoin le corps humain pour fonctionner normalement, mais reste pauvre en nutriments.

À l’inverse, les édulcorants peuvent provenir de multiples ressources et sont composés de molécules diverses et variées. Ils se caractérisent par un pouvoir sucrant plus important, un apport calorique moindre et ne provoquent pas de pic glycémique comme le sucre. De plus, certains sont cariogènes c’est-à-dire qu’ils n’induisent pas de caries dentaires. Ils peuvent être naturels ou bien synthétiques, résultant de l’industrie chimique, comme l’aspartame ou la saccharine parmi les plus connus.

Dans cet article, nous allons nous intéresser aux divers édulcorants naturels et vous présenter leurs principaux atouts et inconvénients.

1. Miel

Le miel est l’un des premiers édulcorants naturels consommé par l’Homme. Produit par les abeilles, ce nectar non végétal est riche en fructose et en glucose mais aussi en anti-oxydants, vitamines, minéraux et oligo-éléments. Il détient également des propriétés antibactériennes. Cependant, le miel perd ses bienfaits lorsqu’il est chauffé.

le miel édulcorant naturel

2. Stevia

La stevia est un édulcorant provenant de la plante Stevia rebaudiana, originaire d’Amérique du Sud, à l’arrière-goût réglissé. Elle contient 10 composés dont les stéviosides, lui conférant un pouvoir sucrant jusqu’à 300 fois supérieur à celui du sucre, cela sans aucune calorie. Cependant, sa production se rapproche peu à peu à celle très industrielle du sucre issu de la canne à sucre ou de la betterave sucrière.

la stevia édulcorant naturel

3. Sirop d’érable

Le sirop d’érable est un édulcorant naturel issu d’érables dont on récolte la sève. Cette sève est alors réduite et donne le fameux sirop d’érable au goût suave caramélisé, ingrédient indissociable des pancakes et de nombreux desserts lactés. Il s’agit donc d’un édulcorant végétal aux multiples bienfaits car il possède de nombreux anti-oxydants, minéraux et vitamines.

le sirop d'érable édulcorant naturel

4. Sirop d’agave

Il s’agit d’un édulcorant naturel provenant de l’agave, plante présente principalement au Mexique et en Afrique du Sud. Source de sels minéraux et de vitamines, son goût est peu prononcé. Possédant des propriétés antibactériennes, il est cependant riche en fructose, molécule augmentant la résistance à l’insuline et le dépôt de graisse dans le foie si consommé en grande quantité.

le sirop d'agave édulcorant naturel

5. Sucre de coco

Le sucre de coco provient du cocotier, plus particulièrement de sa fleur. Est alors prélevée la sève des fleurs du cocotier que l’on chauffe ensuite, puis réduit en poudre pour obtenir le sucre de coco. Cet édulcorant naturel riche en vitamines, minéraux et anti-oxydants, possède un goût et une texture proches du sucre complet sans avoir la saveur caractéristique de la noix de coco.

le sucre de coco édulcorant naturel

6. Mélasse

La mélasse est un édulcorant naturel issu de la canne à sucre, résultant du raffinage pour obtenir le sucre. Sa consistance visqueuse se rapproche de celle du miel, avec une couleur foncée tirant sur le brun. Elle a un goût assez prononcé qui ne plaît pas à tous les palais, proche du caramel et de la réglisse avec une certaine amertume. Elle contient également de nombreuses vitamines et minéraux

la mélasse édulcorant naturel

Le sirop d’érable à l’honneur chez La Main dans le Bol !

Chez la Main dans le Bol, nous avons fait le choix de ne pas utiliser de sucre raffiné ni d’autres dérivés du sucre afin d’être en accord avec nos valeurs prônant une alimentation saine et équilibrée. Afin de proposer à nos consommateurs des granolas aux ingrédients les plus sains et naturels possibles, notre choix s’est porté sur le sirop d’érable comme unique sucre, et ajouté en faible quantité. Quoi de mieux qu’un édulcorant 100% naturel, végétal, biologique, dépourvu de conservateur et de colorant !

Il contribue également à une alimentation saine, variée et équilibrée grâce à ses bienfaits nutritionnels. En effet, en plus de son goût délicieusement caramélisé, le sirop d’érable est source de vitamines, minéraux et anti-oxydants. Que du bon pour confectionner nos délicieux granolas chez La Main dans le Bol

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Quels sont les différents systèmes d’évaluation des produits alimentaires ?

Quels sont les différents systèmes d’évaluation des produits alimentaires ?

Les consommateurs mettent en avant l’importance de la qualité des produits alimentaires qu’ils achètent

Aujourd’hui, nous sommes de plus en plus nombreux à attacher de l’importance aux produits alimentaires que l’on achète, tant en termes de nutrition, d’éthique et d’environnement. Pendant longtemps, trouver de la nourriture en quantité suffisante était la principale préoccupation des foyers et l’est toujours selon les contextes économiques ou les pays.

Depuis quelques années en France, une importance toute particulière est accordée à la qualité du produit alimentaire acheté, cela afin d’y voir plus clair au milieu de l’offre abondante des commerces et des supermarchés labyrinthiques. Pour aider le consommateur dans ses choix, des systèmes d’étiquetage colorés et des applications mobiles d’évaluation ont peu à peu vu le jour. Nous allons vous les présenter et tenter de les comparer selon les critères d’évaluation et les systèmes de notation de chacune.

A quoi correspondent ces systèmes d’évaluation qui notent les produits alimentaires ?

Ces systèmes de notation des produits alimentaires ont pour but de remettre le consommateur au centre des décisions. Elles lui permettent de reprendre la main sur son alimentation devant l’offre pléthorique de denrées alimentaires qui se présente à lui. En effet, une vraie demande de transparence émerge chez les consommateurs suite aux divers scandales agroalimentaires apparus ces dernières années. Une volonté de contrer l’opacité entretenue de certains industriels afin de savoir en tout état de cause ce que l’on met dans son assiette. Dans cette optique, de nombreux systèmes d’évaluation ont été créés et nous allons vous présenter les principaux.

1. Nutri-score

Dans la lignée du règlement INCO (Information Consommateur) permettant une meilleure compréhension des informations des produits alimentaires, le Nutri-score a vu le jour à la demande du Ministères des Solidarités et de la Santé. Créé par Santé Public France, il a été mis en place pour la première fois en 2017 en France. Il s’agit d’un système de notation des produits alimentaires en fonction de leurs valeurs nutritionnelles.

Le nutri-score, c'est quoi ? Un des systèmes d'évaluations pour définir la qualité des produits alimentaires

Ce score est calculé sur la base des nutriments et aliments à favoriser pour rester en bonne santé tels que les fruits et légumes, les vitamines, les fibres, les protéines, tout en tenant compte des nutriments à limiter comme les sucres, le sel, les acides gras saturés, les calories. Un nouveau mode de calcul va voir le jour en 2024 afin d’augmenter la précision de l’évaluation face aux adaptations des recettes des industriels depuis 2017.

Nous vous invitons à lire l’article suivant si vous souhaitez en savoir plus sur le Nutri-score :

Le Nutri-Score, pour ou contre ? – Blog la main dans le bol – Artisan granola bio

2. Nova score et Siga score

Le Nova score est un système de notation créé en 2009 permettant d’évaluer le degré de transformation des produits alimentaires sur une échelle de 1 à 4 : du moins transformé au plus transformé. À l’origine, il est essentiellement utilisé par les instances de santé publique et des épidémiologistes dans leurs recherches. Il est notamment employé par les applications Yuka et Open food facts dont nous parlerons dans les paragraphes suivants.

Parallèlement, le Siga score est relativement similaire au Nova score avec l’affichage de non pas 4 mais de 7 niveaux d’évaluation des transformation produits. Il a été créé par une start-up dans le but d’apporter plus de précisions et une meilleure compréhension pour les consommateurs. Il est notamment utilisé par Franprix et Biocoop.

Le Nova score et le Siga score, c'est quoi ? Un des systèmes d'évaluations pour définir la qualité des produits alimentaires

3. Planet score

Le Planet score est un système d’évaluation selon des critères environnementaux. Est alors évalué le cycle de vie des aliments : des matières premières au produit fini, en passant par la production, la transformation, les emballages, le transport et l’énergie employée. Il a donc pour but d’évaluer l’impact environnemental des produits alimentaires, cela afin d’aider les consommateurs à orienter leurs achats dans une voie plus éco-responsable (protection de la biodiversité, lutte contre la déforestation, le changement climatique, la pollution des sols, de l’air et de l’eau). L’affichage de la notation est similaire à celui du Nutri-score.

Le planet score, c'est quoi ? Un des systèmes d'évaluations pour définir la qualité des produits alimentaires

4. Yuka

Créée en France en 2017, il s’agit de l’une des applications les plus connues et les plus utilisées en France, qui s’exporte peu à peu à l’étranger. Elle est indépendante avec un financement provenant en grande partie des utilisateurs, et référence plus de 3 Millions de produits alimentaires mais aussi plus de 2 Millions de produits cosmétiques.

L’attribution de la note Yuka se base à 60% sur le Nutri-score des produits, à 30% sur la présence ou non d’additifs et enfin 10% pour la dimension biologique (absence ou non de pesticides, présence d’un label officiel national ou international). En parallèle, apparaissent les notes du Nutri-score, du Nova score et de l’Eco-score. Une note sur 100 est alors attribuée selon ce système de calcul, à l’aide d’une palette de 4 couleurs permettant une bonne lisibilité et une meilleure compréhension.

Des produits alternatifs plus qualitatifs aux produits scannés sont également proposés sur l’application.
La pertinence de ce système de notation est régulièrement mise en cause en raison des proportions accordées à chacun des critères qui peuvent ne pas refléter la qualité réelle des produits concernés.

5. Open food facts

Cette application de notation des denrées alimentaires uniquement, datant de 2012, a été l’une des premières à voir le jour. Il s’agit d’une base de données collaborative, gratuite et libre d’envergure internationale. En effet, elle compte plus de 2,5 Millions de produits présents dans près de 180 pays. Elle permet d’y voir plus clair en détaillant la liste des ingrédients avec un système de Traffic lights (feux tricolores) indiquant la proportion de sel, de sucres, de lipides, d’acides gras saturés, etc… Sont également affichés le Nutri-score, le Nova score mais aussi l’Eco-score, système d’évaluation similaire au Planet-score se concentrant plus sur l’évaluation des émissions des gaz à effet de serre.

Cette application est donc riche en informations mais les données ne sont pas forcément toutes actualisées ou vérifiées en raison du fonctionnement collaboratif de la plateforme.

Ainsi chaque système d’évaluation et de notation présente des informations analysées sous leur propre prisme et s’avèrent complémentaires. Afin de choisir au mieux ses produits, il s’agit alors de les utiliser de manière combinée, d’évaluer l’équilibre entre chaque notation, et sinon de prendre en compte l’ensemble des informations paraissant les plus importantes selon ses priorités propres.

Et les céréales du petit dej de la Main dans le Bol dans tout ça ?

Quand La Main dans le Bol a été créée en 2019, nous ne connaissions pas encore le nutri-score.
C’est en 2023, lorsque nous lançons notre nouvelle gamme de müeslis 100% bio, que nous décidons d’apposer le Nutri-score qui affichent la note A ou B.

Que ce soit notre granola ou notre müesli, ils s’intègrent dans une démarche d’alimentation saine et équilibrée à adopter au quotidien. En effet, lors du process de création de nos recettes, nous veillons à proposer des céréales composées uniquement d’ingrédients naturels avec un faible taux de sucre, sans sel ajouté, sans additif.

Les céréales et ingrédients utilisés dans nos recettes sont 100% biologiques pour une meilleure préservation de l’environnement.
Nous favorisons les partenariats nationaux autant que possible pour limiter notre impact carbone.

Enfin, notre granola est très peu transformé car il est uniquement torréfié à basse température tandis que notre müesli ne subit AUCUNE transformation.

Vous avez désormais tous les outils pour choisir le meilleur pour votre alimentation !

L’AGRICULTURE / LES AGRICULTEURS EN FRANCE

L’AGRICULTURE / LES AGRICULTEURS EN FRANCE

L’agriculture gronde en France en ce début d’année 2024 !!!

L'agriculture et les agriculteurs en France en 2024

L’agriculture gronde en France en ce début d’année 2024 pour diverses raisons, principalement sociales, économiques et environnementales. Les agriculteurs font entendre leur colère face à des années de décisions politiques ne prenant pas en compte l’ensemble de leurs problématiques. Cependant, un monde sans paysans, dont le travail permet de nourrir la population, n’est pas un monde viable. En 1870, l’agriculture occupait plus d’un actif sur deux en France, contre 1,5 % de nos jours. Le secteur traverse donc une grave crise et dénonce un manque de considération et de reconnaissance de la société. Comment en est-on arrivé à cette situation ? Nous allons tenter de résumer en partie l’histoire agricole française, du siècle dernier à nos jours pour y voir plus clair sur la situation actuelle.

Un peu d’histoire…

Au début du XXème siècle jusqu’à la veille de la seconde guerre mondiale, la France compte entre 1 actif sur 3 et 1 actif sur 4 travaillant dans le secteur de l’agriculture, sachant que bien souvent les femmes et les enfants travaillant aux champs n’étaient pas pris en compte dans ces chiffres.

Il s’agit principalement d’une agriculture vivrière organisée en polyculture et polyélevage à faibles rendements.

Après la seconde guerre mondiale, la priorité est de reconstruire le pays et de nourrir la population au plus vite. Grâce à la mise en place de la PAC (Politique Agricole Commune) à l’échelle européenne, des aides financières sont apportées aux agriculteurs sous forme de subventions afin de produire vite en grande quantité. Arrivent alors des progrès techniques et technologiques qui vont permettre aux agriculteurs de s’affranchir des travaux des champs pénibles physiquement et de produire rapidement en grande quantité à l’image de l’arrivée des tracteurs, des engrais et des pesticides. Dans ces conditions apparaît alors l’agriculture intensive et productiviste.

En 2000 à l’image du graphique ci-dessus, la part de la population française travaillant dans le secteur de l’agriculture est de 2% pour descendre jusqu’à 1,5% aujourd’hui. Cette baisse significative du nombre d’agriculteurs est accompagnée d’une augmentation de la superficie des exploitations, les grandes grignotant peu à peu les petites. Ce phénomène s’explique en partie par la baisse du nombre d’agriculteurs et des directives de la PAC qui apporte des aides proportionnelles à la surface agricole. À l’heure actuelle, une exploitation en France couvre en moyenne 69 hectares, contre 14 hectares en 1955. Ce phénomène est également accompagné d’une diminution de main d’œuvre employée, aggravant d’autant plus le manque d’effectifs global du secteur.

Par ailleurs, la population française a doublé entre 1950 et le début des années 2000, passant ainsi de 30 à 60 Millions d’habitants et donc autant de bouches à nourrir. Cependant, la superficie des surfaces agricoles a diminué en raison de l’occupation des sols pour des débouchés autres qu’agricoles. La problématique est donc de nourrir plus de monde mais avec moins de terres exploitables.

Avec l’augmentation significative des volumes produits en France et l’essor de la mondialisation, des déséquilibres apparaissent entre l’offre et la demande, amplifiés par la concurrence des pays étrangers qui produisent à moindre coût. Cela a pour conséquence la baisse des prix et la chute de production de certains aliments en France créant une dépendance alimentaire vis-à-vis des pays exportateurs, tels que l’Ukraine pour les céréales.

L'agriculture franaçaise en péril depuis de longues années

Face aux multiples impacts de l’agriculture intensive sur l’environnement et la santé humaine, de nouveaux modèles agricoles voient le jour dès la fin du siècle dernier, boostés par le réveil d’une conscience écologique. Ces modèles alternatifs sont représentés par l’agriculture raisonnée, l’agriculture extensive, l’agriculture biologique, la biodynamie, la permaculture, etc… Ces systèmes désignent des modèles aux pratiques diverses et aux objectifs différents avec pour ligne directrice l’utilisation limitée des intrants.

Cette émergence est accompagnée par l’apparition de labels permettant de certifier les exploitations selon un cahier des charges précis concernant les pratiques culturales, la limitation des intrants, le respect et la protection de la biodiversité, le bien-être animal, etc…
Ex : AB, Demeter, Bio Cohérence, Nature & progrès

Les raisons de la colère actuelle des agriculteurs

Aujourd’hui, les agriculteurs français font le même constat de ne plus pouvoir vivre décemment de leur métier. Les raisons sont multiples :

• La baisse du revenu agricole liée notamment à la pression des distributeurs
• La concurrence déloyale avec les pays étrangers
• L’émergence d’épidémies et leurs conséquences
• Les restrictions d’accès à l’eau
• La multiplication des normes
• Un manque de reconnaissance de la part de la société

L’évolution de l’agriculture en France a fait naître ces principales problématiques à la fois financières, structurelles, sociales et environnementales qui deviennent aujourd’hui de vraies revendications et un cri du cœur.

Soutien total aux agriculteurs français chez La Main dans le Bol

Chez nous, nous nous approvisionnons autant que possible auprès d’agriculteurs français travaillant en agriculture biologique. Par exemple, toutes les céréales (avoine, blé, orge, seigle, riz) composant nos granolas et müeslis sont 100% françaises et biologiques. Ce sont des denrées cultivées en France qu’il est important de promouvoir.

Nous avons aussi créé un muesli 100% français avec uniquement des ingrédients produits sur notre territoire : des céréales bien évidemment (blé, orge, seigle, avoine, riz), des graines de tournesol, de lin et de courge accompagnées de délicieux raisins produits dans le Lot-et-Garonne. Nous sélectionnons soigneusement nos fournisseurs afin d’avoir les matières premières les plus qualitatives possibles, tout en portant une attention particulière à la juste rémunération des producteurs. Dans le contexte de crise agricole actuelle, il est d’autant plus important de faire des choix porteurs de sens pour le consommateur mais aussi pour le producteur, afin d’encourager un système et une alimentation plus durables.

7 GESTES SIMPLES POUR UNE ALIMENTATION PLUS DURABLE

7 GESTES SIMPLES POUR UNE ALIMENTATION PLUS DURABLE

Des gestes simples pour le futur de l’alimentation

7 GESTES SIMPLES POUR UNE ALIMENTATION PLUS DURABLE : consommer local, des saison, consommer bio, moins de viandes

L’alimentation est l’un des enjeux majeurs de ces dernières décennies, notamment avec l’augmentation significative des besoins alimentaires liée à la hausse démographique mondiale, dans un contexte de changement climatique et de réduction nécessaire de l’impact environnemental de l’Homme.

En ces circonstances, il semble important de se tourner vers une alimentation plus durable, c’est-à-dire plus qualitative, plus saine à la fois pour nous en tant qu’être humain mais également pour l’environnement. Dans cet article, nous souhaiterions vous expliquer le terme « alimentation durable », puis vous présenter 7 gestes simples du quotidien pour tendre vers une consommation alimentaire plus responsable et durable.

Qu’est-ce qu’une alimentation durable ?

Selon l’Agence de Transition Ecologique, l’alimentation durable désigne l’ensemble des pratiques alimentaires qui visent à nourrir les êtres humains en qualité et en quantité suffisante, aujourd’hui et demain, dans le respect de l’environnement, en étant accessible économiquement et rémunératrice sur l’ensemble de la chaîne alimentaire. Les enjeux sont donc à la fois qualitatifs, quantitatifs, sociaux et environnementaux.

L’alimentation durable est intimement liée au développement durable qui peut se définir comme un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Le schéma suivant explique la relation entre les 3 piliers fondateurs du développement durable : sociétal, économique et environnemental.

alimentation plus durable pour nos enfants, la société, l'économie et l'environnement

7 gestes simples pour une alimentation plus durable au quotidien

1. Consommer local

Privilégier les circuits-courts afin de diminuer les intermédiaires, permet de rémunérer plus équitablement les agriculteurs. Ces derniers sont donc plus libres de fixer leurs tarifs, et les consommateurs ont plus de visibilité sur les personnes qu’ils rémunèrent.
Consommer des produits locaux permet également de limiter le trajet parcouru par les aliments, ce qui diminue les coûts de transport et leur impact environnemental.

2. Acheter de saison

Consommer de saison fait écho à la consommation locale mais aussi aux pratiques culturales. Les produits hors saison sont souvent cultivés sous serre, système gourmand en énergie, et/ou importés et transportés par avion, bateau ou camion dans des conditions permettant leur conservation (réfrigération, climatisation). Privilégier des fruits et des légumes de saison limite donc fortement leur bilan carbone.

3. Consommer bio

L’agriculture biologique est une agriculture respectueuse de l’environnement, limitant les intrants et préservant la biodiversité. La consommation de produits bios est un des piliers de l’alimentation durable avec pour conséquence la réduction de notre impact écologique.
Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article sur le sujet : https://lamaindanslebol.fr/actualites/2021/11/26/lagriculture-biologique/

4. Acheter éthique

De nombreux labels (Bio équitable en France, Biopartenaire, Ensemble créé par Biocoop, …) prônent le commerce équitable dont les produits sont obtenus de manière éthique, c’est-à-dire incluant un accompagnement des producteurs, une rémunération leur permettant de vivre dignement, ainsi que des conditions de travail décentes.

5. Diminuer sa consommation de viande

La production d’1kg de viande bovine équivaut à une émission de 28kg de gaz à effet de serre (source : INRAE), ce qui représente 50 fois plus que des céréales, des légumes ou des fruits locaux de saison.

alimentation plus durable pour nos enfants, diminuer la consommation de viande en France et dans le monde

Les gaz à effet de serre émis proviennent principalement de la production de leur alimentation, et de leur élevage nécessitant de grands espaces pouvant entraîner des déforestations excessives.
Il suffit de varier les sources de protéines qui peuvent être trouvées dans les céréales, les légumineuses ou les fruits à coques par exemple afin de diminuer l’impact environnemental de son alimentation.

6. Acheter en VRAC

Le vrac correspond à la mise à disposition en grand volume d’aliments présentés à nu, sans emballage. Ce système offre plein d’avantages écologiques et économiques dont notamment :
– La réduction des emballages
– La diminution du gaspillage alimentaire en n’achetant que la quantité dont on a besoin
– La consommation de produits bruts, pas ou peu transformés
– Faire des économies avec un prix au Kg plus avantageux

7. Diminuer le gaspillage alimentaire

Selon WWF, un ménage français de quatre personnes jette en moyenne 30 kg/an de nourriture encore consommable. En 2019, on comptait 20% de la production mondiale de nourriture qui terminait à la poubelle. Il s’agit donc d’un réel enjeu à l’échelle nationale mais aussi mondiale.
La réduction du gaspillage alimentaire est étroitement liée à la consommation en VRAC comme expliqué dans le paragraphe précédent. Le gaspillage alimentaire peut également être limité par l’attention portée au stockage des aliments, au respect des DLC/DDM et des conditions de conservation. Réaliser des recettes anti-gaspi représente également une bonne solution.

La Main dans le Bol, actrice pour une alimentation plus durable

Chez la Main dans le Bol, l’alimentation durable fait partie de notre ADN et nous sommes fiers de participer à cette transition.
Comment ? Tout simplement parce que nous sommes une entreprise artisanale qui a à cœur de proposer des céréales gourmandes, peu transformées et 100% bio. Le « made in France » est fondamental pour nous : nous fabriquons nos granolas et müeslis dans notre atelier du Beaujolais (en Auvergne Rhône-Alpes) tout en y intégrant des céréales cultivées en France.

Nous répondons ainsi à notre chère règle des 3V :
• Vrai : nos céréales du petit déjeuner sont sans additifs (sans sucre raffiné, sans arôme, sans colorant ni conservateur) et très peu transformées
• Varié : pour une alimentation variée et équilibrée
• Végétal : nos recettes de granolas et mueslis sont 100% végétales (vegan)

Enfin, nous sommes très attachés à promouvoir le vrac tant auprès de nos revendeurs en magasins qu’auprès de nos consommateurs.
Ensemble pour une alimentation plus durable !

Retrouvez notre gamme de granolas bio sur notre boutique en ligne La Main dans le Bol !

Le Nutri-Score, pour ou contre ?

Le Nutri-Score, pour ou contre ?

Qu’est-ce que le Nutri-Score ?

Le Nutri-Score est un système d’étiquetage nutritionnel qui attribue un score à un produit alimentaire en fonction de sa valeur nutritionnelle. Grâce à une lettre et une couleur allant du A vert au E rouge, il prend en compte la teneur en sucres, en acides gras saturés, en sel et l’apport calorique du produit qui ont une influence négative sur le score. À l’inverse, la teneur en fruits, légumes, fibres ou protéines va l’améliorer.
Son objectif est d’informer le consommateur sur la composition nutritionnelle de l’aliment. Il a été mis au point par le programme national nutrition santé en lien avec l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) et le HSCP (Haut Conseil de la Santé Publique). Il a été adopté sur une base volontaire par de nombreux pays européens.

Les points positifs ?

Un facteur d’informations

🌟 Informer les consommateurs de manière simple et claire, il permet de faire des choix avisés sur les aliments et même de comparer plusieurs produits entre eux en un coup d’œil. C’est un gage de transparence.

Clair à comprendre et lisible

🌟 Plus besoin de se casser la tête sur le tableau nutritionnel qui se trouve sur chaque emballage et qui est souvent peu compréhensible. Il permet d’orienter le consommateur vers une offre alimentaire dont la composition nutritionnelle est la meilleure.

Vers une alimentation plus saine

🌟 Il encourage les industriels à revoir et reformuler leurs recettes de produits souvent ultra transformés.

Les points négatifs ?

Une échelle peu précise

💥 La notation ne prend pas en compte la qualité nutritionnelle du produit mais uniquement la composition nutritionnelle. Par exemple le Nutri-Score ne distingue pas bien les glucides à haute valeur nutritionnelle de ceux qui n’apportent que des calories « vides ». Par exemple : les galettes de riz soufflé ont un Nutri-score A ou encore l’huile d’olive vierge de première pression à froid affiche un D ou E même score que pour une huile raffinée.

Beaucoup d’informations non prises en compte

💥 Ne sont ni pris en compte le degré de transformation, ni la provenance et son empreinte carbone, ni la présence ou non d’additifs, de colorants ou conservateurs … Par exemple, un aliment 0% ou soda pourront se retrouver avec un Nutri-score A.

Les quantités ne sont pas précisées

💥 Pas de prise en compte de la taille de la portion consommée, ni de la fréquence de consommation, ni de la notion d’équilibre alimentaire. Par exemple : le beurre est souvent mal noté, cependant avez-vous déjà consommé 100 grammes de beurre d’un coup ? Des produits comme l’huile, le chocolat s’inscrivent parfaitement dans une alimentation équilibrée.

👉🏼 Certains scientifiques alertent sur la stigmatisation potentielle de certains aliments, avec un effet infantilisant et culpabilisant de l’outil.

Que doit-on en penser, au final ?

Il est donc important de souligner que l’équilibre alimentaire se juge sur plusieurs repas et que tous les aliments peuvent y trouver leur place à condition de les consommer en quantité raisonnable et à des heures appropriées.

Notre choix, chez La Main dans le Bol

De notre côté, nous avons fait le choix d’apposer le Nutri-score sur notre nouvelle gamme de müeslis (A et B).
A noter que lors de la création de nos recettes de céréales bio du petit déjeuner, nous nous efforçons de sélectionner des ingrédients de grande qualité nutritionnelle. Nous les dénichons au plus proche de chez nous dès que possible. Nos céréales sont 100% françaises. Nos recettes de céréales sont toutes certifiées 100% biologiques, sans ajout de colorant, conservateur, ni additif.

Notre procédé de torréfaction des céréales se fait à basse température et de manière lente pour obtenir des délicieuses céréales du petit déjeuner très peu transformées.

Venez découvrir notre nouvelle gamme de mueslis ainsi que le reste de nos produits sur notre site boutique : La Main dans le Bol

Et vous, qu’en pensez-vous ? Le Nutri-score est-il suffisant tel qu’il est actuellement ou devrait-il être plus détaillé ? Devrait-on voir la création d’un nouveau label afin de pouvoir obtenir les informations manquantes avec le Nutri-score ? Faites-nous savoir votre avis dans les commentaires.

Consommons local, c’est idéal!

Consommation locale, un défi pour manger en respectant l’environnement

Selon un sondage Ipsos réalisé en 2019, 82 % des Français privilégient l’achat de produits d’origine française et 77 % l’approvisionnement auprès de producteurs locaux.

Consommation locale et de saison et achetons des produits locaux en France

Si les circuits-courts avaient déjà le vent en poupe, la crise du Covid a encore plus accentué le phénomène: les consommateurs se sont tournés vers les commerces de proximité, les magasins de producteurs et la vente directe à la ferme.

Or, cette pandémie et aujourd’hui le conflit politique entre l’Ukraine et la Russie montrent également les fragilités de notre pays notamment sur un plan agricole (mais pas que sur le plan industriel et technologique aussi!). La délocalisation montre ses failles avec notre grande dépendance vis-à-vis des autres pays pour l’approvisionnement de certaines denrées.

Nous allons donc vous parler des avantages du «made in France», de la consommation locale et vous dire comment nous travaillons chez La Main dans le Bol. Car oui, nous fabriquons nos granolas dans notre petit atelier du Beaujolais mais nous veillons aussi à choisir des ingrédients au maximum d’origine française quand cela est possible!

Comment définir la consommation locale?

Nous parlons de consommation locale lorsque nous achetons des produits dans un périmètre de moins de 200 km autour de chez nous directement auprès de producteurs, d’artisans transformateurs, de magasins de producteurs en limitant au maximum les intermédiaires. Pour d’autres, la consommation locale peut aussi signifier l’achat d’ingrédients d’origine française. En effet, si pour les producteurs, la matière première est produite à la ferme sur place, pour les artisans transformateurs (bouchers, boulangers, …), l’approvisionnement des matières premières est différent. Il en va de notre crédibilité de sourcer des ingrédients sautant que possible en local lorsque c’est possible.

acheter local, consommer local, préserver l'environnement de l'empreinte carbone

Quels sont les intérêts de consommer en local?

Plusieurs avantages se présentent au consommateur de s’approvisionner en local tels que:

-Le soutien aux producteurs et artisans locaux: c’est maintenir des emplois français et protéger notre économie.
-Limiter les intermédiaires.
-Acquérir des produits de grande qualité à des prix raisonnables avec une rémunération plus juste pour les producteurs et transformateurs.
-Avoir une meilleure qualité nutritionnelle du produit liée à la proximité géographique qui permet une cueillette à maturité et sans traitement
-Limiter l’impact carbone: quand je consomme à côté de chez moi, les produits n’ont pas été transportés par avion, donc on limite le réchauffement climatique et le gaspillage des ressources.

La consommation locale présente de sérieux atouts pour les consommateurs en quête d’éthique pour leurs achats.

Quels sont les circuits courts à votre disposition?

Plusieurs canaux de distribution pour promouvoir les produits locaux se sont mis en place ces dernières années avec les AMAP (association de maintien pour l’agriculture paysanne), la Ruche qui dit oui, les locavores…

Il est aussi possible d’aller directement à la ferme, dans les magasins de producteurs, ou encore sur les marchés locaux.

Et quand on achète les granolas La Main dans le Bol?

Notre atelier étant situé dans le Beaujolais, il est certain que nous parlons de fabrication et consommation locale pour les personnes étant dans notre périmètre des 200km.

Nous répondons aux critères du «made in France» plus que jamais! Rappelons que les grandes marques de céréales conventionnelles sont pour la plupart fabriquées hors de notre territoire.

Et enfin, parlons aussi du sourcing de nos matières premières: nous avons à cœur de privilégier les ingrédients français autant que possible. Le flocon d’avoine étant un des nos principaux ingrédients est bien évidemment d’origine française cultivé en Auvergne et Bourgogne à quelques centaines de kilomètres de chez nous.

Alors, on mange local ensemble?

Alors à vos marques, croquez des céréales!!

Retrouvez notre nouvelle gamme pépises de granolas bio sur notre boutique en ligne La Main dans le Bol !

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Le grand retour des céréales

Histoire et récit des céréales.

La découverte des céréales date de plusieurs milliers d’années avant notre ère et les tentatives de culture d’il y a plus de 23 000 années.

le grand retour des céréales pour le petit déjeuner en France

Aujourd’hui, la production mondiale annuelle de céréales représente environ 2.7 milliards de tonnes de graines récoltées sur environ 710 millions d’hectares, soit 51% des terres arables et 14% de la surface agricole mondiale.

La plupart des céréales que nous consommons de nos jours appartiennent à la famille des graminées parmi lesquelles nous retrouvons le plus souvent : le blé (triticum), l’épeautre (triticum spelta), le petit épeautre (triticum monococcum), le riz (oryza sativa), l’orge (Hordeum), le maïs (zea mays), le sorgho (sorghum), l’avoine (avena sativa), le teff (eragrostis tef) et le seigle (secale).

Ces dix dernières années ont été marquées par un grand changement concernant la consommation des céréales, notamment avec une alimentation moins carnée et plus végétale d’où le succès de toutes ces petites graines que l’on retrouve facilement dans les magasins bio spécialisés.

Les principales céréales :

les principales céréales en France

Détaillons ci-dessous les principales céréales :

Le blé

Originaire du Proche-Orient, le blé recouvre environ 220 millions d’hectares de terres arables situées pour l’essentiel dans les régions du globe aux climats tempérés : Chine et Inde du Nord, Eurasie, Amérique du Nord, Australie, Argentine.
Le blé tendre est cultivé principalement pour la meunerie, en vue de la fabrication du pain ; le blé dur est destiné surtout aux semouleries, pour la production de pâtes alimentaires ou de couscous.
La Chine est le premier producteur mondial de blé suivi par l’Inde. Viennent ensuite la Russie, les USA et le Canada. La France arrive en 6ème position.

L’avoine et l’orge

L’avoine a souvent été l’aliment principal des chevaux de trait au Royaume-Uni. Puis, cette céréale a été utilisée au petit-déjeuner par les anglo-saxons pour leur porridge ou leur müesli. C’est d’ailleurs souvent qu’on la retrouve sous forme de flocons dans les céréales du petit-déjeuner.
L’Europe est le plus gros producteur d’avoine.
L’orge est quant à elle destinée principalement à l’alimentation animale et à la fabrication de la bière.

Le maïs

Cultivé autrefois pour l’alimentation humaine dans l’Amérique précolombienne, le maïs est une céréale de très haute valeur énergétique. Il est aujourd’hui destiné principalement à la nutrition animale. Les USA et la Chine sont les premiers producteurs mondiaux suivis du Brésil et l’Union Européen.

Le riz

C’est la troisième céréale produite dans le monde avec pour principaux acteurs la Chine, l’Inde, Bangladesh, Vietnam… pour leur marché intérieur. Mangé quotidiennement par les habitants d’Asie, le riz est de plus en plus consommé sur tous les autres continents y compris en Amérique Latine.
Moins connues des Européens, on retrouve des céréales comme le mil, le fonio, le sorgho, le teff et l’éleusine notamment consommées par les populations africaines. Mais leur culture tend à diminuer pour laisser place à des céréales dont les prix de revient sont les plus faibles comme le riz, le blé pour le pain ou les pâtes.

Les atouts nutritionnels des céréales.

Les céréales nous apportent une grande part de l’énergie alimentaire dont nous avons besoin chaque jour pour la dépenser ultérieurement au travail, dans nos déplacements, nos loisirs et nos battements de cœur.

Les céréales se caractérisent par leur teneur élevée en glucides complexes, présents sous forme de grains d’amidon. Cette macromolécule est la réserve énergétique des plantes, constituée de milliers d’unités de glucose formant une longue chaîne plus ou moins ramifiée. La teneur en glucides, protéines, fibres, minéraux et vitamines des céréales est variable selon la variété et les transformations mises en œuvre entre la récolte et la consommation. L’une des étapes majeures est celle du raffinage. Ce procédé vise à retirer l’enveloppe extérieure des céréales pour n’en garder que « l’amande », riche en amidon. En effet, les grains de céréale sont constitués de trois parties : le son en couche extérieure riches en fibres, protéines, lipides, vitamines et minéraux ; l’amande, qui représente 80% du poids du grain, composée essentiellement d’amidon ; le germe, au cœur du grain, composé de lipides, protéines, vitamines et minéraux.

Ainsi, les céréales complètes dont on préserve l’enveloppe extérieure et le germe ont une densité nutritionnelle supérieure à celle des céréales blanchies par le raffinage. Elles apportent deux à trois plus de fibres que les céréales raffinées, mais aussi plus de minéraux (magnésium, potassium, phosphore, fer) et vitamines.

La teneur en fibres des céréales complètes est particulièrement intéressante pour prendre soin de sa santé et de son bien-être au quotidien.

Sources : Biocontact n°328 – Céréales – Novembre 2021

Alors à vos marques, croquez des céréales!!

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Foire bio de l’alter-écologie du 25 au 27 Février 2022

RDV cette fin de mois de Février à Eurexpo pour la 36e édition de Primevère.
Nous serons installées au stand S309 pour vous proposer la (re)découverte de nos granolas bio fabriqués en région lyonnaise.
Nous les proposerons à la vente au détail en sachets et en vrac. N’oubliez pas d’apporter vos contenants (sachets, bocaux, sac en coton…).

Salon primevère | Du 25 au 27 Février 2022 | A Eurexpo | Stand S309

Salon Primevère 2022 Du 25 au 27 Février 2022 | A Eurexpo | La Main dans le bol | Stand S309

Qu’est-ce que le salon primevère ?

L’association Primevère est heureuse de pouvoir maintenir un évènement vecteur de rencontres, de réflexions, d’alternatives, d’ouverture, de bienveillance, d’humanité

Nous aurions bien sûr aimé que tout le monde puisse entrer… Dans ce contexte complexe, nous avons gardé pour boussole la nécessité de montrer à quel point les solutions écologiques sont au coeur des problématiques sociétales contemporaines et à venir.

450 exposants ont répondu présents et nous avons mis du coeur et de la conviction pour vous concocter un programme riche de rencontres. On espère qu’il vous plaira !
En espérant vous retrouver nombreux pour cette 36° édition !

Organisé par une association et réalisé par 300 bénévoles, le salon Primevère a pour ambition de réunir les acteurs de l’écologie pour présenter des alternatives militantes cohérentes et éthiques à la société actuelle, dans une ambiance conviviale.

Les objectifs du salon primevère

CULTIVER LES IDÉES ET LES ALTERNATIVES

L’écologie recouvre des domaines très variés. Basée sur le respect de l’environnement, elle inclut le respect de soi, des autres, les relations entre les personnes et au monde. Primevère tend à présenter les différents aspects de cette écologie, des idées aux applications, même si les pratiques et les pensées sont parfois contradictoires.

L’association organise le salon-rencontres autour de quatre idées fortes :

  • – Promouvoir les démarches alternatives.
  • – Sensibiliser le grand public.
  • – Développer une meilleure communication entre les partenaires de l’écologie.
  • – Proposer aux personnes déjà sensibilisées des sujets à la pointe de l’actualité de l’alter-écologie.

INVITER À LA RENCONTRE

Le salon-rencontres Primevère réunit aujourd’hui sur les 3 jours :

  • – 500 exposants
  • – 200 intervenants
  • – 250 bénévoles
  • – 30 000 visiteurs, avec 10 000 personnes en salle de conférences et 1 400 enfants accueillis sur l’espace enfants.

ORGANISER UN ESPACE DE QUALITÉ

Nos objectifs se traduisent dans l’implantation même du salon :

  • – 50% de la surface du salon est réservée aux exposants.
  • – 50% est dédiée aux espaces d’animations et de rencontres.
  • – Un espace de plus de 700 m2 réservé aux enfants de 4 à 12 ans.

AVEC LES ENFANTS

Parce que les jeunes générations auront à leur tour à se poser des questions et à affirmer leurs valeurs de l’écologie, Primevère leur consacre une place importante sur le salon. Au delà d’une simple garderie, l’espace enfants est construit sur l’expérimentation, l’apprentissage et la découverte des notions de l’écologie.

Salon primevère 2022

450 exposants ont répondu présents et nous avons mis du cœur et de la conviction pour vous concocter un programme riche de rencontres. On espère qu’il vous plaira !
En espérant vous retrouver nombreux pour cette 36° édition ! !

Vous ne pouvez pas participer au Salon Primevère 2022 ?

Retrouvez notre gamme de granolas bio sur notre boutique en ligne La Main dans le Bol !

L’agriculture biologique, c’est quoi ?

Aujourd’hui, la consommation du bio en France a doublé en 5 ans. Elle est passée de 6,7 milliards d’euros en 2015 à 13,2 milliards d’euros en 2020. Les consommateurs ont pris conscience de l’importance d’une consommation saine et respectueuse de l’environnement d’autant plus avec la crise du Covid. Face à cet engouement, nous aimerions vous expliquer ce qui définit un produit bio, vous présenter le marché du bio en France en général ainsi que les différents labels biologiques existants et les organismes certificateurs qui contrôlent ce marché.

L'agriculture biologique, c'est quoi ? les avantages, les inconvénients, les labels en France et en Europe

Qu’est-ce qu’un produit biologique ?

Un produit est considéré comme bio, uniquement, s’il est un produit agricole ou une denrée alimentaire issu€ de l’agriculture biologique et que de fait, il répond aux exigences de la législation européenne notamment :

  • aucune utilisation de produits chimiques de synthèse (pesticides, engrais, désherbants…)
  • aucune utilisation d’OGM
  • respect du bien-être animal (transport, conditions d’élevage, abattage…)
  • pour les produits transformés, une quantité de 95 % au moins des ingrédients issus de l’agriculture biologique.

Pour atteindre ce mode de production, les agriculteurs doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent l’usage d’engrais chimiques de synthèse, de pesticides de synthèse ainsi que d’organismes génétiquement modifiés.

Les circuits de distribution des produits bio en France

Nous allons nous intéresser au marché de l’alimentation bio plus spécifiquement. Celui-ci représente 11,93 milliards d’euros en 2019, soit + 13,5 % par rapport à 2018.
Voici les 4 grands circuits de distribution bio sur le marché français :

  • La distribution spécialisée, avec les réseaux de magasins bio (biocoop, la vie claire, satoriz…)
  • La distribution généraliste avec les hypermarchés, supermarchés, les drives et les hard-discount (Carrefour, Auchan, Leclerc…)
  • La vente directe (marché, producteurs…)
  • Les artisans-commerçants (boulangers, primeurs, boucheries…)

La moitié des ventes de produits se font dans la grande distribution (55 %), les magasins bio spécialisés en réseau représentent 25 % des ventes avec une croissance de 16 %. Une dynamique que l’on observe également pour la vente directe (11 %) avec une progression de 11,7 %. En France, plus de 6,5 % de la consommation alimentaire des ménages est consacrée aux produits bio. L’épicerie représente à elle seule 31 % des achats de produits bio des ménages en 2020.
C’est donc un secteur qui connait une forte progression chaque année.

Les différents labels biologiques, les organismes certificateurs et leurs cahiers des charges

Un label bio est une certification délivrée par un organisme public ou privé. Il suit une charte de qualité bien supérieure aux standards européens. Il existe plusieurs labels BIO ayant chacun leur propre cahier des charges. Les certifications de ces labels sont effectuées par des organismes indépendants et reconnues pour garantir leur équité.

Les labels bio certifiés garantissent principalement :

  • l’absence de pesticides dans les produits,
  • la présence quasi-inexistante d’OGM (différent selon les chartes)
  • la qualité et la traçabilité d’un produit destiné à la vente

Les différents labels bio présents en Europe sont :

  • L’eurofeuille
  • AB Agriculture biologique
  • Bio cohérence
  • Demeter
  • Ecocert
  • Cosmebio
  • Natrue
  • Nature et progrès
  • Bio partenaire

L'agriculture biologique, Les différents labels bio en France et en Europe

Certains labels sont plus exigeants au niveau des cahiers des charges pour obtenir leur certification comme Demeter ou encore Nature&Progrès. Natrue est quant à lui un label bio spécifique aux produits cosmétiques.

Et chez La Main dans le Bol, qu’est-ce que signifie le bio ?

Notre démarche est de vous proposer des granolas 100% bio. Même si une latitude de 5% de produits non bio est autorisée dans la composition de nos mélanges céréaliers, il est important pour nous que 100% de nos ingrédients soient issus de l’agriculture biologique. Cela permet d’éviter les contaminations croisées mais ce sont aussi des valeurs que nous prônons pour avoir un moindre impact sur la faune et la flore en intégrant des produits qui n’ont pas été traités par des pesticides, insecticides ou autres….

De nombreuses études ont d’ailleurs montré que la céréale conventionnelle est l’ingrédient le plus sujet à l’utilisation de pesticides et d’OGM. C’est pourquoi, il était évident au lancement de notre activité de vous proposer que du bio à 100% !

Dans la définition du bio, nous aimerions aussi vous inviter à réfléchir à la notion d’impact carbone. Pourquoi aller chercher des matières premières à l’autre bout du monde lorsqu’elles sont cultivées à deux pas de chez nous ? C’est dans ce sens où nous sommes allés à la rencontre des acteurs français pour trouver nos ingrédients et autant que possible dans notre belle région Auvergne Rhône-Alpes. En moyenne, 70% de nos ingrédients sont d’origine française. Dès que nous le pouvons, nous favorisons nos filières françaises. Pour autant, sur certaines graines ou fruits secs, il n’existe pas de cultures sur notre territoire alors nous nous tournons vers des labels équitables.

Proposer des recettes bio chez La Main dans le Bol, c’est aussi s’engager à vous concocter des assemblages sains pour votre santé. Sans sel ajouté, sans sucre raffiné, nous mettons tout en œuvre pour développer des granolas avec un excellent apport nutritionnel pour bien démarrer le matin !

Enfin, l’agriculture biologique c’est aussi de l’humain dans les relations nouées avec l’ensemble de nos partenaires (employés, fournisseurs, clients…) et qui font la réussite de La Main dans le Bol !

Retrouvez notre gamme de granolas bio sur notre boutique en ligne !